ARCHIVE D'ACTIVITÉ

On a tenu au Palais de Verre l'Événement à haut niveau sur la tolérance religieuse et la réconciliation, convoqué par le Président de l'Assemblée Générale, par Sam Kutesa, avec le Secrétaire Generale, Ban Ki-moon, et Haut Représentant de l'Alliance des Civilisations (UNAoC), Nassir Abdelaziz Al-Nasser.
À l'événement, qui s'est articulé en deux journées, ils ont participé aussi des exposants des religions islamique, chrétien catholique, protestant et orthodoxe, Juif, Sikh, Hindou et bouddhiste. Panama, Jordanie, Turquie, Iraq et Mali ont participé là avec des représentants de niveau politique. Au débat ils ont participé 55 États membres, incluse l'Italie.
La journée d'ouverture, dédiée au débat parmi les États membres, s'est concentrée sur les stratégies pour le contraste à la violence extrémiste. En inaugurant la rencontre dans la Salle de l'Assemblée Générale, la PGA Sam Kutesa s'est arrêtée sur les derniers événements internationaux, marqués de la recrudescence de crimes justifiés avec des motivations religieuses. Pour Kutesa, dans l'an de l'adoption de l'Agenda pour le Développe Soutenable, la communauté internationale doit tourner à se concentrer sur les causes socioéconomiques du phénomène pour en prévenir une expansion ultérieure.
Pour sa part, Ban Ki Moon, a affirmé que Boko Haram, Daesh, À- Shaabab représentent tous une nouvelle génération de terroristes qu'esclaves médiatiquement des graves erreurs commises des Gouvernements dans la réalisation de politiques pas inclusives.

En particulier, le Secrétaire Général de ONU a rappelé l'inertie dans fournir des solutions à des problèmes régionaux ou globaux la quelle la pauvreté extrême, l'absence d'état de droit et la limée participation politique continue. Tous facteurs qui déterminent la méfiance des populations dans les comparaisons de ses gouvernantes, et qu'ils finissent pour fournir aux nouveaux groupes terroristes l'arme précieuse du consentement plus ou moins explicite. Sur ce point il est intervenu aussi l'Envoyé Spécial de l'Union Africaine pour le contraste au terrorisme, Francisco Caetano Jose Madeira.
En intervenant à son tour, Haut Représentant UNAoC Nasser a invoqué l'effective implication d'exposants religieux dans l'élaboration de stratégies sociales pour le contraste à l'extrémisme violent. Selon Nasser al-Nasser (haut diplomatique du Qatar), la communauté internationale a besoin d'accorder ses instruments de contraste au fanatisme, en réactivant les potentialités de persuasion et la modération des religieux dans chaque société.
Dans le suivant débat il a eu le moyen d'intervenir aussi l'Italie, pour voix d'un représentant prés de la Mission restent à ONU. D'une partie italienne ils ont été rappelés les valeurs fondantes d'une société ouverte, parmi laquelle la liberté religieuse et le respect de cultures et d'identités minoritaires, toutes ayant un rôle essentiel. Il a été rappelé l'approche italien au problème de l'extrémisme violent, cohérent avec cette prémisse et reconnecté, dans une perspectif multidimensionnelle, à l'impact sur la stabilité régionale de la Méditerranée et au conséquent phénomène migratoire. Autre point central de l'approche italien est celui de la défense des minorités religieuses et ethniques, la conservation du patrimoine culturel et le soutien à des initiatives de médiation marqué du rôle active de la société civile. Il a été cité en intention le cas de la Communauté de Sant'Egidio.
De façon cohérente, l'Italie on déclare disponible à contribuer au Plan d'Action proposé du Secrétaire Général de ONU pour la protection des minorités en Moyen Orient et à soutenir l'initiative allemand-irakienne d'une résolution sur la protection du patrimoine culturel irakien qui sera lancé les mois à venir en Assemblée Générale.
Parmi les autres interventions, on enregistre celui du vice Premier ministre et ministre des affaires etrangères de la Jordanie, Nasser Judeh. Dans la vision jordanienne, la stagnation sur la question israelo-palestinese constitue un persistant réservoir d'individus prêt à grossir file des mouvements terroristes qui instrumentent le message religieux, surtout parmi les bandes sociales moins instruites. Aussi pour la Jordanie, le contraste à l'extrémisme et au fanatisme doit passer pour la tolérance religieuse et pour la modération, à exercer à travers les moyens éducatifs et de l'information. Le thème de l'information médiatique a été repris du vice ministre des étrangers turc, Ali Babacan, qui a mis en doute l'exactitude de l'position prédominante par rapport aux barbaries des mouvements terroristes. À son avis, le fait d'insister sur l'identité religieuse, nationale ou ethnique des victimes est une grave erreur parce qu'il répond à la même logique - en l'alimentant - qu'est employée des groupes terroristes.
Pour le représentant de la Turquie réussira à confronter la violence extrémiste dans l'instant où on évitera d'actionner des références confessionnelles ou ethniques, en se concentrant exclusivement sur la brutale violation de la dignité humaine quel mobile plus que suffisant à en justifier une réaction décidée. Une approche, celui repris dans la suivante intervention du représentant de la France.
Dans le débat il est ensuite intervenu le ministre des Étrangers irakien, Ibrahim Al-Jaafari, seconde lequel on impose une necessité collective de réprimer ISIS/Daesh, devenu un problème pas plus seulement irakien, mais maintenant global. À - Jaafari a rappelé la tradition multiculturelle et multiconfessionnelle de l'Iraq, qui son gouvernement entend défendre traverse des considérables investissements dans l'instruction publique, de la vue comme vraie et durable solution pour réaffirmer l'identité et la mémoire histoire et culturelle de l'Iraq.
Une analogue approche, d'intervention sur des différents plans, a été celui évoquée du délégué de la Nigeria, de la seconde qui est nécessaire d'investir en programmes pour la correcte formation des prédicateurs et des éducateurs religieux, vagues éviter des endoctrinements coraniques inspirateurs du fanatisme. De considérable intérêt elle a été l'intervention du représentant des Maux, Zahabi Ould Sidi Mohamed, ministre de la réconciliation nationale, qui a défendu la nature multiconfessionnelle du mahométisme maliano, étrangeur de poussées fondamentalistes et fanatiques comme ce qui ils ont tourmenté le nord de son Pays dans les ans passés, avant l'intervention de stabilisation guidée de la France.
La suivante série d'interventions a eu pour des protagonistes le porte-parole de groupes religieux. Parmi ceux-ci le représentant du mouvement « les Foyers », Maria Voce, unique femme à s'asseoir dans le Pontifical Conseil pour les nouvelle evangelizzazione. Maria Voce a en suite illustré les activités d'assistance promouvoir des Foyers en faveur de plus besogneux en Moyen Orient, et inspirées d'une approche inter-confessionnelle.
En ouverture de la seconde journée, le Secrétaire Général Ban Ki Moon a annoncé ses deux nouvelles initiatives pour valoriser la contribution potentielle de la religion dans le contraste à la radicalisation.
Il prévoit d'instituer une commission (panel) consultative composée d'exposants religieux ayant la tâche de formuler des contro-narrative à la propagande de haine ('hate speech') et du specificheproposte pour l'intégration des stratégies ONU dans il craint de médiation et peace-building. Dans le suivant débat elle est émergée une diffuse insatisfaction des exposants religieux intervenus environ manqué implication dans les procès de paix des Nations Unies. Les exposants musulmans et les hébreux, en particulier, ont convenu sur la circonstance qui une contre-narrative inspirée à des messages religieux positifs soit déjà existante. Mais en second lieu elles sont les Gouvernements qui l'ignorent coupablement, puisque sous-estiment les capacités de pénétration sur le terrain des communautés religieuses dans la phase d'élaboration des mandats de peace-building.
D'une perspectif catholique africaine il est intervenu l'archevêque d'Abuja, John Olorunfemi Onaiyekan, selon lequel si je dialogue interreligieux il restera dans l'agenda politique international avec une acception plus culturelle qui opérationnelle son potentiel restera sur le papier. À son avis, elle est celle-ci la cause concomitante de la prédominance des fondamentalistes de chaque religion dans l'arène politique et médiatique malgré tu te traites d'une minorité numériquement incomparable par rapport à la grande majorité « silencieuse ».
Le débat a ensuite accueilli l'évocation d'exemples concrets de pacification confessionnelle de sociétés instables. Parmi ceux-ci, il a été cité celui de Giava, où le chef de la locale communauté Sikh a mentionné la création d'écoles maternelles et élémentaires multiconfessionnelles, la coordination multiconfessionnelle dans les circonscriptions pour affronter des problèmes sociaux avec une approche partagée et l'institution de musées multiconfessionnels dans lesquels préserver mémoire et analyse religieuse et de partage d'espaces physiques.
En conclusion, l'événement à haut niveau promû de l'UNAoC et du président de l'Assemblée Générale (GRAISSE) semble avoir rejoint ses objectifs seul en partie. Dans le sens que jusqu'à présent les états membres de ONU ont répondu avec une participation dans toute évidence modeste, circonstance qui n'a pas permis de valoriser adéquatement une initiative de pour beaucoup elle valide et de considérable intérêt, surtout pour la partie du débat dans lequel ils sont intervenus les exposants des diverses religions.
L'attention maintenant se déplace sur la concrète réalisation du Plan d'Action et sur l'institution du Panel consultatif de religieux, voulu du Secrétaire Général Ban Ki Moon.