2017 (FR)

Des centaines de panneaux portent l'inscription "NO TENIM POR" (NOUS N’AVOS PAS PEUR). Ce sont surtout les enfants qui les tiennent fermement entre leurs mains. J'étais à Barcelone quelques jours avant l'attaque dans les mêmes endroits.Revenir aujourd'hui, même si avec le bouclier d'un demi-million de personnes, ce n'est pas la même chose!Les villes sont comme les hommes: elles naissent, elles grandissent, elles se développent, elles tombent malades et elles peuvent mourir.Barcelone - comme Paris, Monaco, Nice, Londres et beaucoup d'autres villes victimes des attaques terroristes - ne pourra plus jamais revenir. Ils devront apprendre à traiter l'événement et vivre avec, continuer leur voyage à travers l'histoire du monde.Aujourd'hui était une belle journée où le désir de liberté et de démocratie prévalait aussi sur les esprits indépendantistes qui pouvaient créer des problèmes. Donc ce n'était pas le cas. "TOUT UNITED CANTEREME", disait mon père.J'ajoute: "SEULEMENT  TOUS NOUS GAGNERONS.AUSSI CONTRE LE TERRORISME ».

Michele Capasso