2015 (FR)

Onu et Kaiciid réunissent en Maroc les leaders religieux de tout le monde.

Le 23 et 24 avril s'est déroulé à Fez le Forum global sur le rôle des leaders religieux dans la prévention des atrocités de masse, organisés du Bureau ONU pour la Prévention du Génocide et de la Responsabilité de Protéger, en collaboration avec le Centre KAICIID de Vienne, du Délégué interministériel pour les droits humains du Maroc, Majoub El Haiba et de la Ligue marocaine de l'Oulema.
La rencontre de Fez a ouvert un cycle les étapes duquel suivantes seront constituées de cinq séminaires régionaux et un conclusif, de nouveau à caractère global, dans le cours duquel sera adoptée un Plan d'action. Étaient présentes environ une trentaine de représentants de quelques des principales religions (catholique-chrétienne, juive, musulmane, bouddhiste, Hindou), au-delà de à d'experts internationaux dans craint de droits humains, dialogue interreligieux et prévention des conflits. L'Under Secretary General Adama Dieng, Conseiller Spécial de Ban Ki-moon pour la prévention du génocide, a remercié les autorités marocaines, et particulièrement le Roi Mohamed IV, pour avoir accepté d'organiser le Forum à Fez, ville de la forte connotation spirituelle et religieuse.
Au-delà de 30 guides religieuses de différents pays et d'aveux elles se sont réunies pour deux jours à Maroc dans la ville de Fez à l'occasion de le premier forum global promu par les Nations Unies (Bureau pour la prévention des génocides et la responsabilité à la protection), de la plate-forme interreligieuse Kaiciid, voulue du défunt roi saoudite Abdullah avec base à Vienne, et de la Mohammedia, la Ligue des savants musulmans du Règne du Maroc.
La rencontre, comme il explique un communiqué, s'insère dans une parcours commencée dans le 2011 sur initiative d'Haut Commissariat pour les droits humains de l'Onu après le meeting de Rabat et de Gênes et la suivante implication du Kaiciid, avec l'auspice que « le dialogue interreligieux devient un moyen essentiel pour l'intervention des guides religieuses dans la prévention de possibles escalades causées d'un abus de la religion et les tensions parmi communauté ».
La rencontre a été la première d'une série de forum qui seront réalisés prochainement en divergés pays, dont le programme a été discuté à Fez, ville historique pour la tradition sapientaux islamique, siège d'une des premières universités au monde et patrie de naissance d'influents saints et savants.
« Quelques autorités religieuses présentes à le Forum de Fez ont relié les atrocités criminelles aux problèmes liés au manque de liberté et de paire dignité du pluralisme religieux, autres aux problèmes liés à la marginalisation sociale, à la pauvreté et au manque d'ignorance », a affirmé le vice président du Coreis Italienne, Imam Yahya Pallavicini, a intervenu les différentes sessions de le Forum.
« Aussi en partageant quelques de ces analyses - il a ajouté - il ne me semble pas qu'elles soient jamais dosées à la réaction violente que certains provoquent avec des exterminations de masse vis-à-vis de familles entières avec la fausse justification « de rendre justice » à l'honneur perdu d'un aveu religieux. Au contraire - il a explique l'imam - ils sont vraiment ces criminels à recruter en Orient comme en Occident les personnes en faisant croire que leur révolution est la solution à tous les problèmes de la société. Une telle stratégie d'encouragement à la violence naît par contre arrogeant des délégitimation des professeurs des écoles authentiques et de l'insuffisante conscience du patrimoine traditionnel de l'humanité que vraiment toutes les religions ont toujours témoigné ».
« Pour que cet outrage de la religion et de tous les principes de inviolabilité de la vie puisse être prévenu – continue Pallavicini – il est fondamental défendre l'identité et l'autorité des guides religieuses authentiques contre des faux professeurs des écoles dépourvus d'autorité théologique et d'autorisation spirituelle et, en outre, promouvoir une coordination parmi des Institutions et entre les sages des divers aveux religieux pour tarer des parcours de prévention avec l'information précise sur quelques dégénérescences et avec l'éducation à la Paix ».
À guider la ranconctre : Adama Dieng, conseiller spécial de l'Onu pour la Prévention Génocide et à Faisal bin Mu ' ammar, secrétaire général du Kaiciid.
Étaient présentes :
Pour le Hindouisme, Swami Agnivesh de l'Inde
Pour le Judaïsme, Rav David Rosen de Jérusalem
Pour le Buddhismo, Sam Art Oeun du Cambodge
Pour le Christianisme orthodoxe grec, Metropolita Emanuel Adamakis
Pour le Christianisme catholique, Cardinal John Onaiyakan de la Nigeria et Mons. Miguel Ayuso du Vatican
Pour le Christianisme protestant, Bergères James Wuye de la Nigeria
Pour le Mahométisme sunnite, Ahmad Al-Abbadi, secrétaire général de la Mohammedia, Ligue des savants musulmans du Règne du Maroc
Pour le Mahométisme chiite, Maythan au Salman du Bahrain
Une délégation de la Fondazione Mediterraneo a participé à l'événement.