2016 (FR)

Pour sortir de la crise profonde dans la diplomatie régionale méditerranéenne on doit se déplacer rapidement: on a besoin d'une refonte du dialogue interculturel et interreligieux dans la région, de nouveaux outils et d’une nouvelle identité commune. Et cela, en un mot, est le message lancé lors du séminaire intitulé organisé par l'Institut des affaires internationales au Ministère des Affaires étrangères, en collaboration avec le Réseau italien pour le dialogue euro-méditerranéen (RIDE).
Redéfinir le dialogue interculturel en Méditerranée est le seul moyen de sortir de la situation où il y a la région. Besoin de "construire ensemble une nouvelle identité culturelle commune," at-il dit, en ouvrant le travail Pasquale Ferrara, ambassadeur désigné de l'Italie à Algeri, se souvenant de la façon de faire que nous avons besoin de le faire "en impliquant tous les acteurs de la région: les entreprises organisations civiles, non-gouvernementales, les travailleurs culturels de la rive sud ", non seulement ceux de la rive nord. Donc pas une vision euro-centrique, mais une vision euro-méditerranéenne. Ce qui doit être clair »est que nous sommes unis par un destin commun et les défis sont les mêmes pour toute la Méditerranée: la sécurité, le développement, la lutte contre le terrorisme et les idéologies extrémistes - non seulement l'Isis - la mobilité, les jeunes," at-il dit le Président de la Fondation Anna Lindh, Elisabeth Guigou. Pour obtenir un véritable dialogue interculturel est nécessaire de connaître l'autre et de le faire, "vous devez utiliser tous les moyens, tous les instruments», même la technologie. Extrémisme, dit Guigou, qui coule à travers le réseau, "mais l'Internet peut être utilisé pour lutter contre la propagation de cette idéologie déviante». «Je l'espère - il a conclu le président de la Commission des Affaires étrangères du National français - que l'Europe ne pense pas seulement de résoudre ses problèmes, mais aussi penser à regarder au-delà de ses frontières, à savoir le Sud" banque. L'approche, en répétant les organisateurs du séminaire, doit être économique, social et culturel multi-sectorielle, comme étant les plus touchés par la crise sont les jeunes, trop souvent induite par le chômage et l'exclusion sociale à la violence et l'extrémisme. Et la nécessité d'avoir une identité méditerranéenne, et un message clair, sur la base d'un dialogue culturel afin d'être en mesure de partager, a insisté Enzo Amendola, secrétaire des affaires étrangères, la conclusion des travaux.
"En regardant en arrière au cours des dernières erreurs - dit-il - nous devons apprendre à trouver un terrain d'entente, mais aussi d'être en désaccord". La mission, répète Amendola, est de «protéger notre patrimoine culturel commun», le passé et le présent et le défendre contre cette idée "totalitaire à vouloir effacer." Servez enfin, "un agenda positif pour la Méditerranée, un partenariat capable de définir une nouvelle vision géopolitique", en bref, une «vision avenir commun qui pointe en particulier sur les jeunes de la région pour résoudre les défis devant lesquels la Méditerranée situé ".