2015 (FR)

« Les nuages qui hier couvraient le ciel ont laissé espace à seules aveuglant. Il filtre à travers les petits cercueils qui renferment les pauvres restes identifiés dans la derniere année, après une période de vingt ans de souffrances indicibles. C’est  la blessure sanglante que nous ne devons jamais oublier, jamais… ».
Celles-ci les mots émus du président Michele Capasso, revenu dans la ville pour laquelle il a dédié une grande partie de sa vie à travers des initiatives de solidarieté et avec la création de la Fondazione Mediterraneo. Les commémorations du vingtième anniversaire du génocide de Srebrenica se sont déroulées à la mémoire de Potocari, qui reçoit les restes du au-delà 8mil de musulmans massacrés dans le Juillet de 1995 des forces serbes du général Ratko Mladic '.
Les policiers ont délimité avec ruban  les zones interdites aux curieux et déroutent les autos des visiteurs vers le jardin d'en face, converti à parking pour l'occasion. Les journalistes arrivés de tout le monde ont rangé ses véhicules munis d'antennes paraboliques face à l'entrée, pendant que sur la route qui donne Bratunac porte à Srebrenica - où à moitié route se place la mémoire - on voyage déjà marce à des réduites.
Au moins 50mil participants à la cérémonie d'aujourd'hui. Environ 10mil ils arrivent en tant que la soi-disante Marcia de la Paix commencée mardi dans la citadine de Nezuk, à moitié route parmi Tuzla et du fleuve Drina qui marque la frontière bosniaque-bosniaque. En trois jours, les volontaires du « Marš Mira » ont parcouru au contraire ce « tracé de la mort » qui dans l'été de 1995 fut entreprise des réfugiés musulmans qui fuyaient vraiment des violences dans l'aire de Srebrenica.
Ils sont  présentés présidents, ministres et leader de divers Pays. Parmi les autres l'ex président Usa Bill Clinton, l'ex secrétaire d'État Madeleine Albright (émue pendant qu'il embrasse une femme de Srebrenica), et le Haut représentant pour la politique étrangère et de la sécurité de l'EU, Federica Mogherini. Pour l'Italie il est présent le président de la Chambre, Laura Boldrini qui affirme la valeur indispensable de la réconciliation. Toutes les délégations de la région sont présentes : de la Slovénie à la Macédonie en passant pour la  Croatia et Montenegro.
Le premier ministre serbe Aleksandar Vucic ' après l'échec de la résolution Onu sur le génocide de Srebrenica (dû au veto poste de la Russie) a participé à la cérémonie mais il a été chassé violemment de la foule.
Le président Capasso a reparcouru l'histoire de la dernière période de vingt ans et s'est rappellé des étapes fondamentales de la Fondazione Mediterraneo pour l'ex Yougoslavie : de l'Appel de 1994 pour sauver Srebrenica aux multiples initiatives d'aide.