2013 (FR)

Le Papa dans sa visite en Sardaigne a improvisé une prière centrée sur le travail :
« Seigneur Dio regardes nous, regarde cette ville, cette île, regarde nos familles ; à toi il n'est pas manqué le travail, as fait le menuisier et étais heureux. Seigneur il nous manque le travail, les idoles veulent nous voler la dignité, les systèmes injustes veulent nous voler l'espoir, Seigneur, ne pas nous laisser de soleils, aides nous à nous aider parmi nous, que nous oublions un peu d'égoïsme et sentons dans le coeur, nous est peuple qu'il veut passer. Seigneur Jésus à laquelle ne manqua pas le travail donnes-nous le travail et enseignes nous à lutter pour le travail, et les benedici tous nous ».
« Il est facile dire ne désespérez pas, eh bien je vous dis : ne vous laissez pas voler l’espoir, qui est comme la braise sous la cendré, aidons nous en soufflant ensemble, pour que le feu vienne ».
Papa Francesco s'est tourné avec ces mots aux travailleurs des entreprises en crise. « Celui-ci - il a expliqué - n'est pas optimisme : l'espoir nous le savons tous, devons soutenir tous ensemble, est une chose notre et vôtre ». « Le manque de travail - il a souligné Santo Padre - n'est pas un problème de la Sardaigne, même si il est fort ici, mais est la conséquence d'un choix mondial, d'un système économique que porte à cette tragédie, un système économique qui a au centre une idole qui s'appelle argent ».