Kimiyya ||Le Donne Attrici del Dialogo (FR)

Les Femmes Actrices du Dialogue

L'Action commune « KĪMIYYA. Les Femmes Actrices du Dialogue » est idée et réalisée  par la Fondazione Mediterraneo, en collaboration avec 12 Réseaux nationaux de la Fondation Anna Lindh: Albanie, Algérie, Bosnie-Herzégovine, Espagne, France, Italie, Malte, Mauritanie, République Tchèque, Lituanie, Slovénie, Tunisie.
L’Action veut recueillir et approfondir le travail accompli jusqu'à présent, en formulant des recommandations et des lignes opérationnelles concrètes.
La Femme est la principale «promotrice» des connexions entre les sociétés civiles: en soutenant sa formation, l'éducation et l'accès aux nouveaux outils des nouvelles technologies numériques, on pourra faciliter la mise en œuvre du dialogue interculturel dans la région euro-méditerranéenne et réduire les migrations et les causes des conflits.
Le nom KĪMIYYA a été choisi parce que dans les anciennes langues de la Méditerranée (amharique, arabe, grecque et d’autres langues) il signifie «embrasser», «fondre», «mettre ensemble», «réunir», «partager», «mélanger».

 

L'association AIDDA Campania signe le manifeste "Kimiyya" des États-Unis du Monde pour les droits des femmes. Sous l'impulsion de la présidente Carla Librera, certains associés ont adhéré à "Kimiyya", renforçant ainsi l'action de l'association en faveur des droits des femmes.
AIDDA Campania est la délégation régionale de la première association italienne créée dans le but spécifique de promouvoir et de soutenir l'entreprenariat féminin, le rôle des femmes managers et des professionnels.
Fondée en 1961 à Turin, elle a acquis la personnalité juridique et le statut d'organisation du troisième secteur en 2023. Elle est le point de référence le plus autorisé pour les femmes qui assument des rôles de responsabilité dans la structure économique italienne et est une organisation qui interagit activement et stimule le tissu socio-économique et culturel de la société civile.
AIDDA, avec ses 800 membres, apporte un soutien précieux et une contribution en termes d'idées et d'expérience au monde entrepreneurial et professionnel féminin, représenté par les petites, moyennes et grandes entreprises italiennes avec une transversalité dans tous les secteurs de produits, une forte représentation des entreprises familiales, historiques et artisanales reflétant une Italie faite de tradition, de créativitỳ, d'excellence, de qualitỳ ; un patrimoine économique, historique et social inestimable.
AIDDA est divisée en 13 délégations régionales et ses membres représentent un chiffre d'affaires de 12,5 milliards d'euros et 35 000 employés.

Lire la suite : ...

La présidente du conseil municipal de Naples, Enza Amato, a signé le Manifeste Kimiyya pour les droits de la femme, à l'occasion de sa visite aux États-Unis du monde et au Musée de la Paix.

Lire la suite : ...

L'honorable Bruna Fiola, conseillère régionale de Campanie, a signé le manifeste de Kimiyya pour les droits des femmes lors d'une visite au Musée de la Paix.

Lire la suite : ...

La sénatrice Valeria Valente, lors d'une visite au Musée de la Paix, a signé le Manifeste Kimiyya pour les droits des femmes.

Lire la suite : ...

Les sénateurs de la République italienne Cecilia D'Elia et Antonio Misiani - en visite au siège des États-Unis du Monde - ont signé le manifeste "Kimiyya" pour les droits des femmes, que les États-Unis du Mnde avec la Fondazione Mediterraneo promeuvent dans le monde entier depuis 2017.
Les sénateurs D'Elia et Misiani, ancien vice-ministre de l'Économie, ont souligné l'importance de l'action des États-Unis du Monde pour la Terre et pour la Paix.

Lire la suite : ...

Les "ÉTATS UNIS DU MONDE" et leurs sections autonomes "FONDATION MÉDITERRANÉENNE" et "KIMIYYA" célèbrent dans divers pays, comme chaque année le 25 novembre, la "Journée Internationale pour l'élimination de la Violence à l'égard des Femmes" officialisée par les Nations unies en 1999.
"La date du 25 novembre,
souligne le Secrétaire Général Michele Capasso, a été choisie pour commémorer la vie, l'activisme et surtout le courage de trois sœurs : Patria, Maria Teresa et Minerva Mirabal, également surnommées "mariposas", ou papillons, qui ont lutté pour la liberté de leur pays : la République dominicaine, qui, dans les années 1940 et 1950, était sous l'emprise de la dictature du général Rafael Trujilo. Les sœurs Mirabal décident de s'engager dans l'activisme politique en dénonçant les horreurs et les crimes de la dictature. Mais le 25 novembre 1960, les trois sœurs "mariposas" sont torturées et assassinées par les assassins de Trujillo. L'indignation suscitée par leur mort a soulevé une vague d'horreur dans le pays et à l'étranger, attirant l'attention de la communauté internationale sur le régime dominicain et la culture "machiste" qui ne tolérait pas que les femmes occupent l'espace public et politique. C'est en mémoire de Patria, Maria Teresa et Minerva que chaque 25 novembre marque le début d'une période de 16 jours consacrée à l'activisme contre la violence fondée sur le genre, qui se termine le 10 décembre par la "Journée internationale des droits de l'homme".
En cette année ravagée par les guerres et les événements extrêmes, les "ÉTATS-UNIS DU MONDE" appellent tout le monde à "se serrer les coudes" pour faire respecter la dignité humaine des femmes et, surtout, pour prévenir les féminicides qui infestent toutes les sociétés.

Lire la suite : ...

Mario Morra, parrain de l'historique "Bagno Elena", accompagné d'Alessia et Claudio Ciccone, a visité le Musée de la Paix MAMT et le siège des États-Unis du Monde.
Accompagnés par le président Michele Capasso, les invités ont visité les principaux parcours émotionnels, en particulier celui dédié à Pino Daniele.
À cette occasion, Alessia Ciccone, artiste et musicienne, a signé le Manifeste "Kimiyya" pour la défense des droits des femmes.

Lire la suite : ...

Silvia Levenson, artiste verrier de renommée internationale, a visité le musée en vue de la création d'une section consacrée à l'art du verre, à laquelle elle s'est engagée à participer avec l'une de ses œuvres significatives.
À cette occasion, elle a signé le "Manifeste Kimiyya" pour la défense des femmes.
Dans l'interview du président Capasso, elle a déclaré :
"Je suis née à Buenos Aires en 1957. J'ai fait partie d'une génération qui s'est battue pour changer une société qui semblait terriblement injuste. En 1976, lorsque les militaires ont pris le pouvoir, j'avais dix-neuf ans et en août de cette année-là est née ma fille Natalia. Elle avait le même âge que ces jeunes dont l'identité biologique avait été volée par les militaires. Avec une cruauté sans précédent, les prisonnières enceintes étaient assassinées juste après avoir accouché, tandis que les bébés étaient illégalement donnés à l'adoption. Ce qui s'est passé entre 1976 et 1983 a changé ma vie et influencé mon travail artistique. Une part importante de mon travail consiste à révéler ou à rendre visible ce qui est normalement caché ou ne peut être vu, et j'utilise le verre pour représenter cette métaphore. Nous avons toujours utilisé le verre pour conserver les aliments et les boissons, j'utilise le verre pour préserver la mémoire des personnes et des objets pour les générations futures".

Lire la suite : ...