LES ÉTATS-UNIS DU MONDE

La FONDATION MÉDITERRANÉENNE, depuis sa création en 1990 immédiatement après la chute du mur de Berlin, a pris comme l'un de ses principaux objectifs l'établissement des "ÉTATS-UNIS DU MONDE": à partir d'une intuition de Gustavo Rol.
Les activités menées au cours des trois dernières décennies par la Fondation - notamment dans le domaine de la "Grande Méditerranée" - témoignent d'une action constante et concrète qui, précisément en ces temps difficiles de guerre et de pandémie, constitue une ancre de salut pour renforcer l'esprit de paix et de coopération entre les peuples.
Les adhésions d'hommes et de femmes, d'organisations et d'institutions de différents pays contribuent à soutenir l'initiative institutionnelle en poursuivant des objectifs concrets et des moyens efficaces pour la défense de la planète, le respect des droits fondamentaux de la personne humaine, la coexistence des philosophies, des croyances et des religions, la distribution équitable des biens et des ressources, l'union de la science et de la politique pour le salut de l'humanité et contre toutes les guerres.

L'"Appel pour des États-Unis du monde" a été présenté et partagé dans différentes villes du monde à partir du 14 avril 2021 et signé par plus de 2 millions de personnes. Le 22 avril 2021, Journée mondiale de la Terre, il a été présenté aux chefs d'État et de gouvernement réunis par le président Biden.
Le texte dit: "Nous avons besoin de l'engagement des gouvernements et des organismes de la société civile pour promouvoir une 'Coalition de valeurs et d'intérêts partagés', indispensable après la pandémie pour éviter une catastrophe environnementale, sauver la création, partager les connaissances et éviter les guerres et les conflits".

À l'occasion du trentième anniversaire de la Fondazione Mediterraneo, la réunion internationale sur le thème "LA MÉDITERRANÉE DU FUTUR - ONE BELT ONE ROAD" s'est tenue au Musée de la Paix - MAMT, promu par l'Institut pour la culture chinoise et la Fondazione Mediterraneo.
Cet événement fait partie du "World Peace Forum" organisé à Naples et dans d'autres pays du monde.
La réunion internationale a eu pour objectif la création d'un comité technique permanent qui attire l'attention des institutions nationales et des régions de l'Italie méridionale sur la nécessité d'inclure des acteurs économiques et scientifiques dans le processus appelé "Route de la soie".
Considérant le risque d'exclusion des ports de la mer Tyrrhénienne des métiers les plus importants qui caractériseront les années à venir, une analyse et une planification en temps voulu permettant d'impliquer l'ensemble du "système italien" dans cette action importante et dans ce processus; en particulier dans le sud de l’Italie.
En présence de Zheng Xuan, ministre conseiller de l'ambassade de la République populaire de Chine en Italie, afin de témoigner de l'importance de la collaboration entre les deux pays, l'événement constitue une étape importante et est divisé en tables institutionnelles, scientifiques et industrielles.
Animé par le directeur de "Il Mattino", Federico Monga, le sénateur Vito Petrocelli, président de la commission des affaires étrangères du Sénat, et les parlementaires Piero De Luca et Gennaro Migliore, ont discuté de la situation.
De nombreuses idées et propositions sont venues de la table scientifique présidée par Giuseppe Cataldi (Université de Naples "L'Orientale") où Elda Morlicchio (rectrice de l'Université de Naples "L'Orientale"), Enzo Siviero ( Vice-président du SEWC - Congrès mondial des ingénieurs en structures), Matteo Bressan (Université Lumsa de Rome), Floria Sapio (Université de Naples "L'Orientale"), Giancarlo Scalese (Université de Cassino et du Latium sud), Massimiliano Lega ( Fondation de participation "Observatoire de la mer et des côtes côtières" de Campanie), Nicola Martino (Président de l’Association libre et forte).
Les discours de bienvenue et les conclusions ont été confiés à Michele Capasso (président de la Fondazione Mediterraneo), à Davide Antonio Ambroselli (vice-président et directeur de l'Institut de la culture chinoise) et à Domenico Salerno (membre du conseil d'administration de l'Institut de la culture chinoise).

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