2015 (FR)

OMCOM – Observatoire Méditerranée sur la Criminalité et les Mafias – constitué de la Fondation Caponnetto et de la Fondazione Mediterraneo célébrée à Naples et à Florence la journée de la légalité.
Elisabetta Caponnetto, veuve de Nino, s'est rappellée de que la mafia se combat avec la culture de la légalité et avec le courage.
Les présidents Michele Capasso et Salvatore Calleri ont proposé au Musée MAMT de dédier lui les salles principaux aux victimes de toutes les mafias.
Pour se rappeller de l'XXIII anniversaire des massacres Capaci en rue D'Amelio 40mil étudiant de tout le Pays et une centaine provenants de l'Europe et des Etats Unis, se sont unies dans le souvenir de Giovanni Falcone, de Paolo Borsellino, de Francesca Morvillo, de femme de Falcone, et des hommes de leurs escortes Rocco Dicillo, Vito Schifani, Antonio Montinaro, Walter Eddie Cosina, Claudio Traina, Emanuela Loi, Vincenzo Li Muli, Agostino Catalano.
Grâce à la collaboration de la RAI, Palerme s'est reliées avec 6 places italiennes (Milan, Gattalico, Florence, Naples, Rosario et Corleone).
Encore une fois Palerme centre et coeur vital de légalité et la célébration de l'anniversaire devient occasion de croissance et de formation pour les étudiants.
« Les images de l'attentat de Capaci resteront toujours imprimées dans nos yeux, comme dans le premier instant, ainsi comme celles, aussi boulerversantes, de rue D’Amelio ». Il l'a affirmé le président de la République Sergio Mattarella à Palerme, à l'occasion de l'XXIII anniversaire des massacres de Capaci et de rue D'Amelio.
« Mafia peut être battue et nous l'éliminerons »
« Nous sommes ici, d'abord, pour dire que la mafia peut être défaite. Nous sommes ici pour renouveler une promesse : nous battrons la mafia, nous l'éliminerons du corps social parce qu'il est incompatible avec la liberté et la humaine cohabitation ». Il a conclu le président de la République Sergio Mattarella, arrivé dans la salle Bunker des Ucciardone à Palerme, pour la cérémonie de l'anniversaire du Massacre de Capaci. « Président… Président ». Il est l'hurlement d'un groupe de garçons qui l'a accueilli. Mattarella s'est arrêtée pour faire des photos avec des enfants qu'ils lui ont