2014 (FR)

Elle s'est déroulée à Rome dans le siège de FAO la deuxième « Conférence internationale sur la malnutrition ».
Particulièrement significatif l'intervention de Papa Francesco:

« Il est douloureux constater comme la lutte contre la faim et la dénutrition soit entravée de la priorité du marché et de la préminence du gain, qui ont réduit la nourriture à une marchandise n'importe quel, sujette à spéculation, aussi financière ».

Commence ainsi Son discours, interrompu plusieurs fois des battants applaudissements des dignitaires joints de tout le monde.
Le Pontife est arrivé dans le siège de l'organisme Onu à Rome peu avant le 11:00. Monté au troisième plan, avant d'entrer dans Sala Plenaria le Pontife a rencontré brièvement Regina Letizia d'Espagne qui avait à peine conclu son intervention, précédé de salue du ministre pour les Politiques Agricoles, Alimentaires et Forestières, Maurizio Martina, président de la Conférence, et de l'introduction de Josè Graziano de Silva, directeur général de Fao.
L'entrée de Papa Jorge Mario Bergoglio, suivi du Cardinal Segretario d'État Pietro Parolin, a été accueillie de l'applaudissement des délégués tous debout. Le Pontife s'est tourné à l'assemblée en langue espagnole.

« Aujourd'hui on parle beaucoup de droits, en oubliant souvent les devoirs - il a affirmé- Peut-être y sommes préoccupés trop peu de quel ils souffrent la faim. Et pendant qu'on parle de nouveaux droits, l'affamé est là, au coin de la rue, et demande droit de citoyenneté, d'être considéré dans sa condition, de recevoir une saine alimentation de base. Il nous demande dignité, ne mendie pas. Eh bien - il a poursuivi le Papa - le défi qu'on doit affronter est le manque de solidarieté. Nos sociétés sont caractérisées d'un croissant individualisme et de la division. Cela finit avec priver plus les faibles d'une vie daigne et avec provoquer des révoltes contre les institutions ».

Le président de la Fondazione Mediterraneo Michele Capasso a mis en évidence se répandre d'une « criminalité légale » : ces actions qui, sous le chapeau de la légalité, soustraient des ressources aux interventions dirigées sur le domaine : des excessifs coûts de gestions d'organismes et d'associations « hoc » à la à souvent pas oecuménique distribution des ressources disponibles.